Le Programme Grande École des Écoles de commerce post-prépa - Programme Master
Le Programme Grande École (PGE) fait référence au " Programme Master ", niveau bac +5, des Écoles Supérieures de Commerce. Se déroulant sur 3 ans (parfois 4 si l’on inclut l’année de césure), le PGE des Business School a pour objectif de former les futurs managers et dirigeants d'entreprise.
Accessibles après une prépa ou un diplôme de niveau bac+2 (BTS, IUT..) ou bac+3 (bachelor, licence...), les PGE sont les formations "phares" des écoles de commerce. Un grand nombre de PGE sont visés par l'État et peuvent conférer le Grade de Master.
Horaires et contenus du PGE
Selon les écoles le volume horaire des Programmes Grandes Écoles varie entre 18 et 25 heures de cours hebdomadaires. Un rythme moins intense qu'en prépa qui laisse donc plus de temps pour les loisirs et à la vie associative très développée dans les écoles post-prépa mais auquel il faut bien sûr ajouter les heures de travail personnel.
Au cours de votre cursus Grande École vous ferez le tour de l’ensemble des disciplines fondamentales du management : le marketing, la vente, la comptabilité, la finance, les stratégies d'entreprise, la gestion des ressources humaines, l'économie, la négociation commerciale, le droit du travail et le droit des affaires...
Au delà de ce tronc commun les écoles assurent un parcours personnalisé en proposant un large choix de spécialisations de haut niveau : ressources humaines, marketing, gestion, finance, commerce international, audit, banque, management de l'innovation, etc.).
Plus besoin de vous déplacer sur les salons ! En quelques clics, vous identifiez les écoles que vous pouvez intégrer et qui proposent la formation que vous recherchez (Bachelor, DCG, DSCG, Ecole de commerce, 3è cycle, ...).Vous cherchez un bachelor, une école de commerce, un DCG ?
Le PGE - Programme Grande Ecole : un programme qui s’internationalise
Ponctué de stages en entreprise (qui représentent en moyenne 10 mois du cursus), le Programme Grande École comprend aussi des séjours à l’étranger. Les étudiants, une fois leur diplôme en poche, sont ainsi rapidement opérationnels. Ils savent surtout composer avec d’autres cultures, d’autres habitudes professionnelles, etc. Une ouverture d’esprit qui intéresse, bien entendu, beaucoup d’employeurs !
Une expérience à l’étranger a d’ailleurs tendance à n’être plus seulement un " plus " : elle devient un prérequis à l’accession à un grand nombre de postes ! Indispensable, en somme.
Les écoles ne s’y trompent pas et se tournent toutes vers l’international : leurs noms, d’abord, s'adaptent progressivement à la mondialisation des formations. L’ESCP-EAP est, par exemple, devenue ESCP-Europe…
Les campus se font multiculturels, les partenariats avec les universités étrangères se multiplient, des professeurs de tous horizons viennent enseigner chez nous, et en anglais s’il vous plaît ! Les doubles diplômes sont légion. Bref, l’heure est à l’internationalisation. Qu’on se le dise.